mercredi 6 janvier 2010

Comenzó por una mirada y terminó por una mirada!

Arrête de dormir à coté de moi. Je sens que tu me regardes profondément, mais je n’arrive pas à te regarder ; j’ai peur de me faire rejeter même pour un café. Oui, même pour un café, je n’espère pas que tu arrives à lire ça sinon je serais humilié. Bon j’arrête d’écrire des conneries, he merde. Tu t’es retournée. Ce n’est pas si grave, je te parlerai, même à la bibliothèque ? C’est trop con… Bon vas-y tu fonces, je te parle je te dis ça fait un moment que je te vois à la Bu. Tu fais quoi comme études ? Bon et après c’est tout. Nickel. Damn, je n’arrive pas à captiver ton regarde, je m’en fous. Je vais seulement parler un peu. Tu n’es même pas concentré. Tu n’arrives plus à te concentrer !!! C’est même pas 10 heures ? Bizarre ! Tu arrives super tôt, moi que je fume un peu c’est super difficile, Hahaha. Merdique, je suis super. Je viens du Mexique de l’autre côté du monde. Et toi, tu crois que j’écris mon mémoire, ben non. Ne t’en soucis pas, je ne suis pas un malade. Je suis seulement impacté par toi. Depuis quand ? Uffff, ça fait un moment, au moins des mois. Ça c’est clair je ne suis pas un inutile c’est seulement une manque de confiance.
Quoi faire ? Rien tu viens de la voir, rien ne peut t’arriver. Attends, ne te précipites pas. Reste tranquille, travail, regarde les infos, regarde tes mails, etc.
Bon, ne t’en soucis pas, je me suis tranquillisé. Maintenant, je n’ai qu’à te parler. Je travaille bien comme même. Et toi aussi, tu as réussi à avancer et commencer à travailler.
Ce texte a été trouvé dans mon ordinateur par moi après six mois.

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